La pelote
On arrête pas la pelote de ficelle qui tombe au sol. Elle se déroule, se déroule, laissant derrière elle une piste emmêlée, entortillée, de préférence mélangée à la poussière locale et aux strates autochtones (strates de revues, de livres, de fringues empilées et froissées... qui font disparaître le parquet et le papier administratif dont vous avez super besoin. Mais je m'égare)
Bref, une métaphore bien lourdingue pour ouvrir ce nouveau blog, et oui, et oui, ma soif de parler de moi l'emporte sur ma résolution de ne plus parler de moi sur le web. Plus schizophréno-narcissique tu trépasse.
J'ai pas encore bien décidé ce que j'allais mettre ici, ça va être sûrement bordélique et légèrement incontrôlable, comme à peu près tout ce que me touche de près ou de loin. Il sera sûrement question de bouffe, pardon de gastronomie, de cinéma, d'arts et de bouquins, et d'anecdotes tirées de mon quotidien ô combien palpitant, il est encore temps de s'enfuir.
Laïdiz inde gentleumâne, bien le bonsoir